L’importance du sponsoring pour les associations sportives est, certes, au cœur des débats depuis la crise sanitaire mais c’est bien un élément antérieur qui est venu déclencher cette interrogation : la baisse des subventions publiques. En effet, cela fait plusieurs années maintenant que le montant de l’argent alloué par l’État – via les collectivités territoriales – aux clubs amateurs diminue. Là où les subventions publiques représentaient près de 24% du budget des clubs en 2005, elles ne représentaient plus que 16% en 2019 selon une étude réalisée pour le compte du CNOSF. Par ailleurs, toujours en 2019, le Ministère des Sports annonçait une baisse de son budget de 6,2% par rapport à 2018 impliquant donc une réduction significative des subventions.
En plus de cette baisse, quasi inévitable des subventions, les associations sportives ont été grandement impactées par la crise du COVID 19 notamment sur les revenus liés au sponsoring et aux cotisations qui représentent, en temps normal, respectivement 9% et 42% du budget d’un club amateur d’après l’étude réalisée par le CDES et Olbia Conseil pour le compte du CNOSF. Selon le Ministère des Sports, les cotisations seraient en baisse de 20 à 30% en 2020. Quant aux partenaires, nous pouvons imaginer que les commerces locaux – qui sont les premiers soutiens des clubs amateurs – ont rencontré des difficultés notamment économiques impactant leur soutien auprès des clubs. Ces 42% que constituent les adhésions annuelles montre clairement la situation dans laquelle se trouve le sport amateur aujourd’hui, à savoir des ressources dépendantes de ces cotisations. Ainsi, en cas de baisse, le budget est grandement impacté.
A l’aube d’un retour à une pratique sportive régulière, il est donc indéniable de se poser la question de l’importance, pour les clubs amateurs, de diversifier leurs revenus en misant notamment sur le sponsoring. En effet, selon une étude menée par KPMG en collaboration avec Sporsora le montre : près de 40% de l’argent alloué au sponsoring sportif en France bénéficie aux clubs et aux associations. Certes, cela s’explique par le fait que les clubs amateurs sont bien plus nombreux que les clubs professionnels mais cela démontre une réelle volonté pour les entreprises notamment les PME – 89% des contrats de sponsoring signés dans le sport amateur sont signés par des PME – d’investir auprès des associations sportives. Si les partenaires ont dû réduire leur implication auprès du sport amateur, le temps est à la reprise, en atteste la croissance française, qui selon les dernières estimations, devrait atteindre 6,7% à la fin 2021. Par conséquent, les clubs doivent donc s’appuyer sur ces chiffres pour attirer de nouveaux soutiens afin de compenser les pertes engendrées par des subventions qui diminuent années après années et des cotisations qui peinent à revenir à la normale.
Malheureusement, les clubs disposent de peu de moyens pour démarcher et mettre en avant leur offre et leurs valeurs auprès de partenaires potentiels. IRIS SPORT CONSEIL accompagne et apporte toute l’expertise nécessaire pour attirer des entreprises prêtes à s’engager aux côtés des associations pour leur permettre d’envisager de meilleurs horizons après deux saisons compliquées afin de développer une nouvelle manne financière pour ne plus être dépendantes des cotisations.
A l’aube d’un retour à une pratique sportive régulière, il est donc indéniable de se poser la question de l’importance, pour les clubs amateurs, de diversifier leurs revenus en misant notamment sur le sponsoring. En effet, selon une étude menée par KPMG en collaboration avec Sporsora le montre : près de 40% de l’argent alloué au sponsoring sportif en France bénéficie aux clubs et aux associations. Certes, cela s’explique par le fait que les clubs amateurs sont bien plus nombreux que les clubs professionnels mais cela démontre une réelle volonté pour les entreprises notamment les PME – 89% des contrats de sponsoring signés dans le sport amateur sont signés par des PME – d’investir auprès des associations sportives. Si les partenaires ont dû réduire leur implication auprès du sport amateur, le temps est à la reprise, en atteste la croissance française, qui selon les dernières estimations, devrait atteindre 6,7% à la fin 2021. Par conséquent, les clubs doivent donc s’appuyer sur ces chiffres pour attirer de nouveaux soutiens afin de compenser les pertes engendrées par des subventions qui diminuent années après années et des cotisations qui peinent à revenir à la normale.
Malheureusement, les clubs disposent de peu de moyens pour démarcher et mettre en avant leur offre et leurs valeurs auprès de partenaires potentiels. IRIS SPORT CONSEIL accompagne et apporte toute l’expertise nécessaire pour attirer des entreprises prêtes à s’engager aux côtés des associations pour leur permettre d’envisager de meilleurs horizons après deux saisons compliquées afin de développer une nouvelle manne financière pour ne plus être dépendantes des cotisations.